Qui suis-je ?

Bachelier Conseiller conjugal et familial (CCF)

Présidente de l’Union Professionnelle des Conseillers Conjugaux et Familiaux (UPCCF)

Membre de la Ligue Wallonne de Santé Mentale (LWSM)

Membre de la Société Balint Belge

  •  

rencontre

Du couple

Apprendre ou réapprendre à écouter « l’autre » : Qu’avons-nous fait de nous ? Et si c’était plutôt de la relation dont il était question …

Retravailler, reconstituer le lien effrité malgré soi, malgré lui/elle, malgré nous …

Disputes, incompréhensions, malentendus, problèmes de communication, crises de couple ... Trop occupés par les tâches qui nous envahissent au quotidien, nous oublions parfois d’être, tout simplement !

rencontre

En individuel

Qui suis-je ? - Pour moi - Pour cet autre, là devant moi ?

Apprendre à se découvrir « soi » : comment je me présente à mon conjoint, mes parents, mes enfants, mes amis, mes collègues, ... ?

La Personne est à prendre dans sa globalité : chaque personne a son identité propre. Laisser libre cours à son inconscient, laisser libre cours au silence … pour que la parole se dise …

rencontre

En famille

Chaque membre de la famille est appelé à s’interroger sur la place qu’il occupe au sein même de celle-ci.

Le conseiller conjugal et familial est là en tant que tiers pour soutenir la famille dans sa capacité à innover, dans sa capacité à renouer le lien intrafamilial, dans sa capacité à trouver ou retrouver un nouvel équilibre.

La famille est un système qui s’autorégule de manière à maintenir une forme d’équilibre (homéostasie). En tant que système, la famille a la capacité de s’adapter aux changements (tant internes qu’externes). Toutefois, le système peut se rigidifier : la famille n’a pas (ne trouve plus) les ressources nécessaires à la survie du système familial. L’homéostasie familiale est menacée : des symptômes apparaissent … des tensions augmentent.

Le CCF aide à clarifier la situation dans un esprit de bienveillance et de non-jugement

empathie, congruence, authenticité

Pensées

  • Reformuler, verbaliser, figurer : cet ensemble d’activités de l’analyste en thérapie de couple est préalable au travail interprétatif qui, s’il s’avère nécessaire, ne peut que succéder à une symbolisation primordiale, laquelle représente, sinon une mise en sens, du moins une mise en condition de porter un sens. [ … ] Pourquoi tant s’efforcer de faire aborder les conflits ? La question n’est pas aussi évidente qu’elle en a l’air  ! En effet, d’une part les conflits ont une fonction, d’autre part le thérapeute n’a pas à les résoudre lui-même. Il faut les aborder et les faire expliciter, réfléchir, analyser par les intéressés, mais pas pour que le thérapeute les traite lui-même. Les aborder, non pour les faire disparaître en tant que tels, mais pour les repérer comme signes. Tout symptôme en tant que manifestation pathologique est à la fois obstacle au fonctionnement normal et signe d’un conflit sous-jacent. Dans la perspective de la thérapie, c’est l’aspect de signe qui est important et qui justifie l’exploration approfondie. Ce n’est pas nier l’aspect d’obstacle au fonctionnement visible du groupe ; c’est au couple de le modifier, s’il le veut, dès qu’il aura compris la nature du conflit sous-jacent.

    « Les mots du couple » Jean-G. Lemaire, Petite Bibliothèque Payot, 1998, Editions Payot & Rivages ; p. 117 ; 120 ; 121.
  • L’identité
    Comment comprendre le mouvement entre l’individu qui se fait et ce qu’il fait de ce qu’on a fait de lui ? Comment saisir ce qui constitue l’identité propre de chaque individu à la fois semblable et différent de tous les autres ? Quels enjeux sont à l’œuvre lorsque le sujet prend conscience qu’il n’y a pas d’autres fins à l’existence que celles qu’il se donne ? Comment comprendre les jeux du désir et du social dans ce travail du sujet pour exister ? Comment l’individu fabriqué socialement peut-il advenir comme sujet ?

    « Qui est "je" » ? Vincent de Gaulejac, Ed. du Seuil, 2009 ; p. 39.
  • « Le continuum [ … ]
    … Je commençais à comprendre que les individus n’évoluent pas à partir d’un point fixe et « homéostatique » vers un nouveau point fixe, bien que ce genre de processus soit possible. Au contraire, le continuum le plus significatif se développe à partir d’un point fixe vers le changement, à partir d’une structure rigide vers une fluidité, à partir d’un état de stabilité vers un processus évolutif ».

    « Le développement de la personne » Carl Ransom Rogers, InterEditions, 2005 ; p. 85.

Contact

N'hésitez pas à me contacter,

je répondrai avec plaisir à toutes vos interrogations.

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